kuv tsis tau khoom muab txhais ua lus hmoob ces nej lam nyeem lus fab kis thiab lus meskas ua ntej: Cov tuag lub cev raug dab phem hloov, nyeem tej yam no qhia rau peb paub tseeb tshaj qub tias vim li cas txheej thaum ub peb niam peb txiv ho ntseeg tias cov tuag saw tau rov los hem neeg.
Le vampirisme et la mastication des morts dans leurs tombeaux
" C'est le cadavre qui a fourni la première notion
de mauvais esprit " (Sigmund Freud)
Depuis la nuit des temps, l'homme a matérialisé
sa peur de la mort et du néant par l'apparition d'angoisses
nocturnes.
La spectropathie fondée sur l'hallucination de la vue et
du toucher ainsi que la tristesse des sujets et les cauchemars
allaient alimenter un climat contagieux de terreur collective
dont le vampire est certainement la créature la plus connue.
Parmi ces formes, l'animation démoniaque d'un cadavre est
certainement la plus ancienne, on retrouve ces traces jusqu'à
l'antiquité et au début du christianisme.
Le démon pouvait prendre une forme corporelle attractive
(succube) afin d'ajouter la possession physique à la
possession psychique.
Il pouvait se contenter à cette fin d'entrer en possession
du corps d'un défunt et de le manoeuvrer comme un automate.
Ces démons pouvaient prendre la forme d'une jolie fille
pour les posséder et les sucer de leur sang , les égorger
ou les dévorer.
On distingue parmi ces " précurseurs " indirects
des vampires :
Une variante orientale de ces démons est la Goule qui d'après
les Mille et une nuit erre dans les campagnes et se jette par
surprise sur les passants pour les tuer ou le cas échéant
se rend la nuit dans les cimetières se repaître de
la chair des défunts.
Pourtant vers le milieu du 18 ème siècle qu'on s'applique
à nous dépeindre comme celui des lumières
et du rationalisme, d'étranges cas sont signalés
dans la lointaine Hongrie ....
Elle est le théâtre d'abominations, on y' voit des
hommes morts depuis plusieurs mois revenir, parler, marcher, infester
les villages et sucer le sang de leurs proches.
Pour ces malheureux villageois, une seule délivrance :
l'exhumation du corps, l'empalement, la décapitation et
l'extirpation du coeur.
D'autres par contre entendent la nuit venue dans les cimetières
les morts "mâcher" dans leurs tombeaux provocant
un bruit semblable à celui qu'un porc fait en mangeant.
Un fil ténu relie l'état vampirique à la
démonologie, il réside d'une part dans les croyances
folkloriques qui veulent qu'après leur mort, les loup garous
deviennent vampires ; d'autre part dans le fait que les démons
incubes empruntent souvent le véhicule des cadavres pour
parvenir à leurs fins érotiques.
Cadavres de sorciers, excommuniés, suicidés sont
la nourriture diabolique d'une psychose infernale.
Delancre l'exprime clairement dans son Tableau de l'inconstance
paru plus de cent ans avant le déclenchement de cette incroyable
épidémie :
" Les corps des morts ne sont jamais ôtés de leur repos par les bons anges ...
Les démons seuls qui tourmentent les mortels et morts et
vivants, ont accoutumés de s'en servir ...
Les démons se joignent volontiers au corps des méchants
et des damnés "
De nombreux intellectuels se penchèrent sur cet inquiétant
problème qui n'avait rien de tellement nouveau puisque
la Bible, Homere, Ovide l'avaient abordé par le biais de
la nécromancie.
Plus édifiant encore sont les faits mentionnés dans
de nombreux comptes rendus, des textes rapportent que l'évêque
d'Olmütz en Moravie, devant la multiplication des plaintes
des villageois de la région, mit sur pied des commissions
d'enquêtes. Ces dernières recueillaient les témoignages,
exhumant les corps suspecté de maléfice nocturne
et procédaient à leur examen.
En cas d'absence de signe de corruption charnelle, les corps étaient
soumis à une procédure judiciaire au terme de laquelle
ils étaient livrés au bourreau pour être exécutes
suivant un rituel particulier :
Après leur avoir planté un pieu en plein coeur et
coupé la tête, les restes étaient brûlés
et les cendres dispersées.
Ces commissions étaient généralement formés
d'autorités ecclésiastiques, militaires, judiciaires
et médicales.
Une anecdote tirées du livre de Michael Ranft " De
masticatione mortuorum in tumulus liber " sur le cas de Mr
Plogojovitz :
" Après donc qu'on est exhumé le cadavre, on
trouva que son corps n'exhalait aucune mauvaise odeur, qu'il était
entier et comme vivant, à l'exeption du bout du nez qui
paraissait un peu flétri et desséché.
Que ses cheveux et sa barbe étaient crus, et qu'a la place
de ses ongles qui étaient tombés, il en était
venu de nouveaux ; que ses sous sa première peau, qui paraissait
comme morte et blanchâtre, il en paraissait une nouvelle
saine et de couleur naturelle, ses pieds et mains étaient
aussi entiers qu'on les pouvait souhaiter dans un homme bien vivant.
Ils remarquèrent aussi dans sa bouche du sang tout frais,
dans l'indignation ou se trouvaient tous les assistants, on envoya
aussitôt chercher un pieu bien pointu, qu'ils enfoncèrent
dans la poitrine du vampire, d'ou il sortit quantité de
sang frais et vermeil, de même que par le nez et la bouche.
Après cela les paysans mirent le corps sur un bûcher,
et le réduisirent en cendres "
Ce type de procès aux défunts se multiplièrent
au début du XVIII eme siècle en Europe centrale
et orientale, c'est l'Abbé benedictain Dom Augustin Calmet
qui synthétise le mieux les préoccupations en rassemblant
nombre de témoignages et de compte rendus dans son "
Traité sur les apparitions des anges, des démons
et des esprits et sur les revenants, et vampires de Hongrie, de
Bohème, de Moravie et de Silésie " de 1751.
Une étude qui connut un succès dans pareil, Jean
Jacques Rousseau dans une lettre à l'archevêque de
paris, s'avouait étonné par l'abondance de témoignages
autorisés.
Voltaire dans son dictionnaire philosophique relevait le paradoxe
suivant : " Les chrétiens d'Occident considéraient
ces corps comme un signe de béatitude tandis que pour les
chrétiens d'Orient, il s'agissait d'un signe de damnation "
Cette multitude de textes nous démontrent comment les
superstitions et les terreurs ancestrales exerçaient leurs
influences sur les esprits ou chacun suivant la remarque du célèbre
criminologiste Le Dr Locard " On tremblait à l'idée
de s'éveiller dans un tombeau ".
Depuis très longtemps le peuple des campagnes avait constaté
que les démons hantaient les cimetières, obligeant
les personnes disparues soupçonnées de vampirisme
de dévorer leur suaire.
Ce bruit résultant de cette mastication passait pour annoncer
l'éclosion de la peste et entraînait la violation
et la mutilation des cadavres.
Deux Illustres savants :Phillipe Retrius, auteur d'un traité
"De masticotione mortuorum " de 1679 et Michael Ranft,
à qui l'on doit un De masticatione mortuorum in tumulus
de 1728 devaient accréditer l'hypothèse selon laquelle
certains défunts dévoraient dans leurs tombeaux
tout ce qui s'y trouve.
Toujours selon Dom Calmet la coutume voulait qu'on mît une
motte de terre sous leur menton ou qu'on leur serrât la
gorge lors de la mise en bière.
On tentera de répondre à ces cinq questions :
Quelques réponses :
Les morts dévorent ils leur vêtement ?
" Or les rapports fournis sur les morts qui mâchent,
en majorité s'accordent pour dire que le mort a dévoré
et avalé de ses vêtements funéraire tout ce
qu'il a pu atteindre avec sa bouche.
Or le cas Hongrois que nous nous efforçons d'examiner ne
nous livre pas d'information semblable.
Exhumé, Plogojovitz avait tous ses vêtements encore intacts.
La seule chose qui semble appartenir a ce motif est le sang qu'on
a trouvé dans la bouche et que l'on a cru sucé par
lui sur des gens qu'il avait tués."
Les serpents carnivores : peut il en naître de la moelle des os ?
" Il existe plusieurs espèces de créatures
qui se nourrissent de chair humaine et qui peuvent facilement
descendre dans les tombes pour y ronger les cadavres.
la première place revint aux serpents dont on constate
le goût pour la chair tendre . "
Un raisonnement logique nous permet d'expliquer l'apparition de
ces superstitions par :
En guise de conclusion je citerai Paul Valery " L'idée
de la mort excite au plus haut point l'imagination qu'elle défie "
Le vampirisme et la mastication des morts dans leurs tombeaux
" C'est le cadavre qui a fourni la première notion
de mauvais esprit " (Sigmund Freud)
Depuis la nuit des temps, l'homme a matérialisé
sa peur de la mort et du néant par l'apparition d'angoisses
nocturnes.
La spectropathie fondée sur l'hallucination de la vue et
du toucher ainsi que la tristesse des sujets et les cauchemars
allaient alimenter un climat contagieux de terreur collective
dont le vampire est certainement la créature la plus connue.
Parmi ces formes, l'animation démoniaque d'un cadavre est
certainement la plus ancienne, on retrouve ces traces jusqu'à
l'antiquité et au début du christianisme.
Le démon pouvait prendre une forme corporelle attractive
(succube) afin d'ajouter la possession physique à la
possession psychique.
Il pouvait se contenter à cette fin d'entrer en possession
du corps d'un défunt et de le manoeuvrer comme un automate.
Ces démons pouvaient prendre la forme d'une jolie fille
pour les posséder et les sucer de leur sang , les égorger
ou les dévorer.
On distingue parmi ces " précurseurs " indirects
des vampires :
- Les Lamies :serpents ailés se terminant par une tête
et un buste de femme. Dans la mythologie grecque, Lamia, autrefois
belle jeune femme fut punie par la jalouse Héra qui tua
tous ses enfants, pour se venger Lamia se métamorphosa
en monstre, mangeant les nourrissons des jeunes parents. - Les Striges :démons femelles aillées munies
de serres. - Les Empuses :spectres multiformes de la nuit pouvant se muer
en monstres innommables ou en créatures de rêve. - Les Omosceles :démons aux pieds d'ânes qui s'attaquaient
aux voyageurs égarés.
Une variante orientale de ces démons est la Goule qui d'après
les Mille et une nuit erre dans les campagnes et se jette par
surprise sur les passants pour les tuer ou le cas échéant
se rend la nuit dans les cimetières se repaître de
la chair des défunts.
Pourtant vers le milieu du 18 ème siècle qu'on s'applique
à nous dépeindre comme celui des lumières
et du rationalisme, d'étranges cas sont signalés
dans la lointaine Hongrie ....
Elle est le théâtre d'abominations, on y' voit des
hommes morts depuis plusieurs mois revenir, parler, marcher, infester
les villages et sucer le sang de leurs proches.
Pour ces malheureux villageois, une seule délivrance :
l'exhumation du corps, l'empalement, la décapitation et
l'extirpation du coeur.
D'autres par contre entendent la nuit venue dans les cimetières
les morts "mâcher" dans leurs tombeaux provocant
un bruit semblable à celui qu'un porc fait en mangeant.
Un fil ténu relie l'état vampirique à la
démonologie, il réside d'une part dans les croyances
folkloriques qui veulent qu'après leur mort, les loup garous
deviennent vampires ; d'autre part dans le fait que les démons
incubes empruntent souvent le véhicule des cadavres pour
parvenir à leurs fins érotiques.
Cadavres de sorciers, excommuniés, suicidés sont
la nourriture diabolique d'une psychose infernale.
Delancre l'exprime clairement dans son Tableau de l'inconstance
paru plus de cent ans avant le déclenchement de cette incroyable
épidémie :
" Les corps des morts ne sont jamais ôtés de leur repos par les bons anges ...
Les démons seuls qui tourmentent les mortels et morts et
vivants, ont accoutumés de s'en servir ...
Les démons se joignent volontiers au corps des méchants
et des damnés "
De nombreux intellectuels se penchèrent sur cet inquiétant
problème qui n'avait rien de tellement nouveau puisque
la Bible, Homere, Ovide l'avaient abordé par le biais de
la nécromancie.
Plus édifiant encore sont les faits mentionnés dans
de nombreux comptes rendus, des textes rapportent que l'évêque
d'Olmütz en Moravie, devant la multiplication des plaintes
des villageois de la région, mit sur pied des commissions
d'enquêtes. Ces dernières recueillaient les témoignages,
exhumant les corps suspecté de maléfice nocturne
et procédaient à leur examen.
En cas d'absence de signe de corruption charnelle, les corps étaient
soumis à une procédure judiciaire au terme de laquelle
ils étaient livrés au bourreau pour être exécutes
suivant un rituel particulier :
Après leur avoir planté un pieu en plein coeur et
coupé la tête, les restes étaient brûlés
et les cendres dispersées.
Ces commissions étaient généralement formés
d'autorités ecclésiastiques, militaires, judiciaires
et médicales.
Une anecdote tirées du livre de Michael Ranft " De
masticatione mortuorum in tumulus liber " sur le cas de Mr
Plogojovitz :
" Après donc qu'on est exhumé le cadavre, on
trouva que son corps n'exhalait aucune mauvaise odeur, qu'il était
entier et comme vivant, à l'exeption du bout du nez qui
paraissait un peu flétri et desséché.
Que ses cheveux et sa barbe étaient crus, et qu'a la place
de ses ongles qui étaient tombés, il en était
venu de nouveaux ; que ses sous sa première peau, qui paraissait
comme morte et blanchâtre, il en paraissait une nouvelle
saine et de couleur naturelle, ses pieds et mains étaient
aussi entiers qu'on les pouvait souhaiter dans un homme bien vivant.
Ils remarquèrent aussi dans sa bouche du sang tout frais,
dans l'indignation ou se trouvaient tous les assistants, on envoya
aussitôt chercher un pieu bien pointu, qu'ils enfoncèrent
dans la poitrine du vampire, d'ou il sortit quantité de
sang frais et vermeil, de même que par le nez et la bouche.
Après cela les paysans mirent le corps sur un bûcher,
et le réduisirent en cendres "
Ce type de procès aux défunts se multiplièrent
au début du XVIII eme siècle en Europe centrale
et orientale, c'est l'Abbé benedictain Dom Augustin Calmet
qui synthétise le mieux les préoccupations en rassemblant
nombre de témoignages et de compte rendus dans son "
Traité sur les apparitions des anges, des démons
et des esprits et sur les revenants, et vampires de Hongrie, de
Bohème, de Moravie et de Silésie " de 1751.
Une étude qui connut un succès dans pareil, Jean
Jacques Rousseau dans une lettre à l'archevêque de
paris, s'avouait étonné par l'abondance de témoignages
autorisés.
Voltaire dans son dictionnaire philosophique relevait le paradoxe
suivant : " Les chrétiens d'Occident considéraient
ces corps comme un signe de béatitude tandis que pour les
chrétiens d'Orient, il s'agissait d'un signe de damnation "
Cette multitude de textes nous démontrent comment les
superstitions et les terreurs ancestrales exerçaient leurs
influences sur les esprits ou chacun suivant la remarque du célèbre
criminologiste Le Dr Locard " On tremblait à l'idée
de s'éveiller dans un tombeau ".
Depuis très longtemps le peuple des campagnes avait constaté
que les démons hantaient les cimetières, obligeant
les personnes disparues soupçonnées de vampirisme
de dévorer leur suaire.
Ce bruit résultant de cette mastication passait pour annoncer
l'éclosion de la peste et entraînait la violation
et la mutilation des cadavres.
Deux Illustres savants :Phillipe Retrius, auteur d'un traité
"De masticotione mortuorum " de 1679 et Michael Ranft,
à qui l'on doit un De masticatione mortuorum in tumulus
de 1728 devaient accréditer l'hypothèse selon laquelle
certains défunts dévoraient dans leurs tombeaux
tout ce qui s'y trouve.
Toujours selon Dom Calmet la coutume voulait qu'on mît une
motte de terre sous leur menton ou qu'on leur serrât la
gorge lors de la mise en bière.
On tentera de répondre à ces cinq questions :
- Les morts mâchent-ils en faisant du bruit avec la bouche ?
- Dévorent ils leur linceul ?
- Sont ils le plus souvent de sexe féminin ?
- Se manifestent ils seulement en temps de peste ?
- Causent ils la mort de leurs proches ?
Quelques réponses :
Les morts dévorent ils leur vêtement ?
" Or les rapports fournis sur les morts qui mâchent,
en majorité s'accordent pour dire que le mort a dévoré
et avalé de ses vêtements funéraire tout ce
qu'il a pu atteindre avec sa bouche.
Or le cas Hongrois que nous nous efforçons d'examiner ne
nous livre pas d'information semblable.
Exhumé, Plogojovitz avait tous ses vêtements encore intacts.
La seule chose qui semble appartenir a ce motif est le sang qu'on
a trouvé dans la bouche et que l'on a cru sucé par
lui sur des gens qu'il avait tués."
Les serpents carnivores : peut il en naître de la moelle des os ?
" Il existe plusieurs espèces de créatures
qui se nourrissent de chair humaine et qui peuvent facilement
descendre dans les tombes pour y ronger les cadavres.
la première place revint aux serpents dont on constate
le goût pour la chair tendre . "
Une image montrant ces fameux serpents carnivores, qui dévorent les morts dans leurs cercueils... | ||
Détail des serpents, 40K |
Cause de la voracité des morts :
" Nous pensons que les serpents élisent domicile dans
les cadavres et que ce sont eux qui tirent les étoffes
"
Le sexe féminin :
" Toute pierre est bonne à ramasser pour la lancer
sur la réputation de la femme "
Pourquoi la devoration des cadavres ne s'observe qu'autour de
la bouche ?
" Nous répondons :c'est parceque ces parties là
sont dénudées, la coutume veut que le corps soit
couvert avant l'ensevelissement par les vêtements funéraires,
à l'exemption du visage et des mains, ainsi les autres
membres restent généralement hors d'atteinte dans
les tombeaux mais les mains, du fait de leur maigreur n'offrent
guère de pâture aux petites bêtes, en revanche
le visage et le cou, charnue et d'un tissu riche en graisse sont
les parties les plus tendres à manger et constituent donc
une proie plus facile à manger "
Un mort qui refuse d'obéir aux règles de bienséance et qui décide brusquement qu'il serait mieux ailleurs... | ||
Détail du mort, 60K |
Un raisonnement logique nous permet d'expliquer l'apparition de
ces superstitions par :
- Inhumations précipitées à la suite de prénomenes
cataleptiques ou d'épidémies hautement contagieuses. - Croyances et superstitions relatives a la méchanceté
des disparues. - La mort des suicidés dont les villageois se sentaient
plus ou moins responsables. - La conservation " miraculeuse " des cadavres par des
terrains riches en arsenic . - la porphyrie :anomalie du métabolisme entraînant
des malformations dentaires et incitant à réclamer
des absorptions de sang.
En guise de conclusion je citerai Paul Valery " L'idée
de la mort excite au plus haut point l'imagination qu'elle défie "